Nos pratiques d’approvisionnement sont éthiques et durables

Weleda s’engage en faveur d’un approvisionnement éthique pour ses matières premières. Le label UEBT, qui nous a été délivré en 2018, en est la preuve.

Notre chaîne d’approvisionnement durable et équitable

En achetant un de nos produits de cosmétique naturelle, vous contribuez à un monde meilleur. Nous veillons à ce que nos matières premières soient cultivées conformément aux préceptes de l’agriculture biologique ou biodynamique, mais aussi à ce que les hommes et les femmes qui les cultivent et les récoltent soient traités équitablement et avec respect. Nos matières premières naturelles doivent pouvoir être retracées jusqu’à leur source. En tant que membre de l’UEBT (Union for Ethical BioTrade - Union pour le commerce bioéthique), nous respectons la norme stricte de l’organisation en matière de critères sociaux, économiques et écologiques.

Notre engagement en faveur d’un approvisionnement durable

Plus de 80 % de nos matières premières proviennent actuellement de l’agriculture biologique certifiée et, si possible, biodynamique. Nous mettons tout en œuvre pour accroître ce pourcentage par le biais de nouvelles collaborations et de partenariats d’agriculture biologique ou biodynamique certifiée. La qualité de nos ingrédients nous tient particulièrement à cœur. Les plantes qui entrent dans la composition de nos produits de santé et de soin naturels sont en grande partie cultivées dans nos jardins. Nos autres matières premières nous sont fournies par des partenaires de longue date.

Notre vision : être une référence en matière d’approvisionnement éthique et durable dans notre industrie.

100
% de nos chaînes d’approvisionnement en ingrédients destinés à nos produits de cosmétique naturelle ont été évaluées conformément aux critères de l’UEBT
250
km² de terres sont consacrés à nos cultures biologiques dans le monde
80
% en moyenne de nos matières premières sont certifiées
1000
ingrédients naturels interviennent dans la fabrication de nos produits

Un approvisionnement éthique en matières premières

Nous la transparence est importante pour nous et nous tenons à ce que vous sachiez ce que vous achetez et utilisez. La certification UEBT vous garantit que nous préservons au mieux et utilisons durablement la biodiversité à chaque étape du processus : culture, récolte et transformation des plantes. Nous nous engageons à traiter nos partenaires de manière juste et équitable, à respecter les droits humains et le droit du travail ainsi qu’à favoriser le développement des communautés locales.

L’Union pour le commerce bioéthique (UEBT)

L’UEBT est une organisation à but non lucratif qui entend contribuer à un monde meilleur en œuvrant à la régénération de la nature et en encourageant un approvisionnement éthique en ingrédients issus de la biodiversité.

Les sept principes de la norme UEBT

  1. Conservation de la biodiversité
  2. Utilisation durable de la biodiversité
  3. Partage juste et équitable des bénéfices liés au recours à la biodiversité
  4. Durabilité socioéconomique (gestion de la production, des finances et du marché)
  5. Conformité aux réglementations nationales et internationales
  6. Respect des droits des acteurs intervenant dans les activités de biocommerce
  7. Transparence en matière d’exploitation des sols, d’utilisation et d’accès aux ressources naturelles

Découvrez l’origine de nos matières premières

La lavande de Moldavie

En Moldavie, les champs de lavande déroulent leur tapis mauve à l’infini et embaument l’air de leur parfum. En bordure du champ, l’unité mobile de distillation transforme les fleurs fraîchement récoltées en huile essentielle. Il y a vingt ans, la Moldavie n’avait rien d’un marché dédié à la lavande. Aujourd’hui, c’est ce pays qui nous fournit la majeure partie de la lavande utilisée dans la fabrication de nos produits de soin naturels. Chez Weleda, nous sommes tout autant attentifs à la biodiversité qu’à la qualité des sols – deux conditions essentielles pour garder la nature en bonne santé. C’est pourquoi nous travaillons actuellement en collaboration avec les populations locales dans le but d’une transition vers l’agriculture biodynamique.

Le bois de santal, un trésor de Nouvelle-Calédonie

L’essence de bois de santal que nous utilisons pour parfumer certaines de nos formules est originaire des îles de Nouvelle-Calédonie, dans le Pacifique Sud. L’huile est extraite du bois tendre du santal, un arbre suffisamment rare et précieux pour être équipé d’un capteur GPS afin de prévenir toute récolte illégale. Pour s’assurer que le bois est prêt à être récolté, on prélève un minuscule fragment au cœur de l’arbre. Si le bois n’est pas « mûr », le trou est rebouché à la cire pour que l’arbre puisse poursuivre sa croissance. Nous étions sur place au moment de la récolte, ce qui nous a permis de visiter le moulin et la distillerie et d’assister au processus d’extraction de cette huile parfumée.

L’arnica sauvage

C’est dans les Carpates, en Roumanie, que se trouve la plus forte concentration d’arnica récolté en Europe. Weleda contribue à protéger cette source et à soutenir les populations locales. Un champ non cultivé ne rapporte qu’un maigre gain à son propriétaire. En revanche, un champ où pousse l’arnica représente une source supplémentaire de revenu qui encourage les exploitants à garder leurs champs à l’état sauvage. La récolte et la transformation de ces plantes sauvages sont soumises à des normes strictes de qualité et de durabilité, auxquelles les cueilleurs locaux sont sensibilisés lors d’ateliers de formation.

Le ratanhia des Andes

Chaque année, une famille péruvienne entame son long périple jusqu’aux contreforts des Andes afin de récolter les plantes et les racines de ratanhia pour Weleda. Nous disposons bien sûr d’une autorisation pour la récolte sauvage de cette espèce dont nous tenons à assurer la protection. Quelle est sa population actuelle ? La nature du sol a-t-elle changé ? La situation a-t-elle évolué depuis l’année précédente ? Tout est soigneusement analysé et documenté. Nous travaillons en collaboration avec des associations de protection de la nature et des universités locales pour déterminer les zones où la récolte doit être effectuée.